Il s’agit tout simplement du procédé traditionnel de réduction d’un nombre quelconque à un chiffre compris entre 1 et 9, utilisé par tous les numérologues.
Ex : 153 = 1+5+3 = 9 (mathématiquement, 153 modulo 9).
Or (tout l’article porte là-dessus), l’alphabet utilisé n’est pas l’alphabet hébraïque, mais l’alphabet latin.
A = 1, B = 2, C = 3,… J = 1 (après réduction), K = 2, L = 3,… S = 1, T = 2, U = 3, … Z = 8.
Quelles que soient les tables utilisées, on doit toujours retrouver ces chiffres après réduction (si l’on s’en tient à l’alphabet latin). Mon article n’est peut-être pas assez explicite sur ce point. Cela me paraissait acquis pour les intéressés.
Je ne crois pas qu’il existe une correspondance unique à laquelle se référer nécessairement en guématrie. Cela marche avec tous les alphabets et on peut construire autant de tables que l’on veut.
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