L’éventuel mariage de Jésus

mercredi 20 octobre 2010
par  syagrius
popularité : 1%

 La naissance de Jésus

La naissance de Jésus est relatée par seulement 2 évangélistes : Matthieu et Luc, pour le premier Jésus est un aristocrate descendant du roi David par Salomon, pour le second il appartient aussi à la famille de David avec des origines moins brillantes.

On y voit des divergences, pour Luc, Jésus reçut à sa naissance la visite de bergers alors que pour Matthieu, il s’agissait de rois.

 Situation en Palestine

Pour comprendre ces divergences, voyons la situation en Palestine au temps de Jésus. En 63 av JC, la terre sainte fut de nouveau dans un état d’anarchie. En effet, grâce à Pompée la Palestine devenait une province romaine. Le pouvoir fut confié à une lignée de roi chargé de faire respecter l’ordre impérial, ce fut les rois hérodiens qui etaient arabes. C’est ainsi qu’à partir de l’an 6 après JC, la situation s’aggrava, terreur et crucifixion sommaire, d’autant plus que le procurateur Ponce Pilate de 26 à 36 amplifiait le climat de terreur. En fait, au contraire de la description des évangiles, c’est un personnage cruel, tyrannique et sans vergogne.

Les Juifs de la terre sainte s’etaient divisés dans de nombreuses sectes dont les Saducéens, Pharisiens, Esséniens, Nazorites.

 Plusieurs dénominations

D’ailleurs on nomme souvent Jésus : Jésus de Nazareth. Or dans l’inventaire des villes de Galilée par Flavius Josephus, cette ville n’existait pas, alors que penser de Nazareth. Dans le nouveau testament il y a une allusion à Jésus de nazaréenne, en fait il faut y voir non pas Jésus de Nazareth mais Jésus le nazorite.

 Le Messie

Que faut il voir dans le personnage de Jésus, il vit à une époque tumultueuse, en pleine anarchie et sous le joug des romains. Continuons l’analyse, le mot messie se dit ne grec christos ou christ et en hébreu oint de dieu. Ainsi le roi David fut un messie ou un christ. En fait, il signifie le terme de roi, d’autant plus que lors de l’occupation romaine le haut prêtre désigné par l’administration portait le titre de prêtre-messie ou prêtre-christ. Celui ci n’etait pas reconnu surtout par les Zélotes attendant un roi perdu et non un faux messie. Ils attendaient seulement un roi.

Or les Evangiles nous disent autre chose. Ceux ci ne date pas de l’époque du christ mais rédigé entre 66 -74 et 132 - 135. Le but n’etait pas de présenter Jésus comme un agitateur ou de présenter les Romains comme responsable de la mort du roi. C’est ainsi que l’Evangile de Marc datant de 80 etait destiné au public romain et donc il ne fallait pas s’attirer l’hostilité de l’occupant. D’ailleurs Matthieu, Luc adoptèrent la même politique. C’est pourquoi on les appelle les synoptiques de part leur ressemblance.

Celui qui ressort est l’Evangile de Jean datant de 100 donc le plus récent. Or il est le seul à évoquer les noces de Cana, l’entretien avec Nicodème, l’intervention de joseph d’Arimathie, la résurrection de Lazare. Suivant les différentes analyses il émanerait de source différente et serait en fait le plus authentique.

 Les incohérences des Evangiles

Nous allons nous rendre compte de plusieurs étrangeté ou incohérence. La plupart des disciples sont mariés et le christ ne préconisait pas le célibat :"N’avez vous pas lu le créateur, dès l’origine, les fit homme et femme… ainsi donc l’homme quittera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme et les deux ne feront qu’une seule chair "déclare t il au chapitre 19 de Luc. Dans la tradition juive le célibat etait fortement reprouvé, alors comment se fait il que Jésus lui-même non marié transgresserait les règles. Il voulait certes apporter la paix mais pas se faire distinguer au près de ses contemporains. Souvent il l’appelait rabbi dans le sens large s’est une sorte d’orateur. Connaissant le haut degré d’instruction du Christ, du fait de son dialogue avec les docteurs du temple. Donc il etait rabbi soit enseignant des écritures. Mais à cet égard dans la loi juive "un homme non-mari" ne peut prétendre à enseigner".

 Les noces de Cana

C’est ainsi qu’on y trouve l’allusion à un mariage au travers des noces de cana. Jésus y est apparemment invité ainsi que sa mère. Pourtant il y a des incohérences. "Or il n’y avait plus de vin, car le vin des noces etait épuisé. La mère de Jésus lui dit "ils n’ont pas de vin". Jésus lui dit "Que veux-tu, femme ? Mon heure n’est pas encore arrivée.". Cette réponse ne gène pas marie, elle s’adresse aux serviteurs "tout ce qu’il vous dira, faite le". On assiste au premier miracle des écritures l’eau mélangée en vin.

Mais revenons en arrière, ils sont invités mais il faut que se soit Marie qui ordonne à son fils de remplir les jarres. En tant qu’invité ce n’est pas leur rôle, en plus les serviteurs obéissent sans hésitation. Apres le miracle, le maître du repas, une espèce de majordome ou maître de cérémonie ayant goûté le nouveau vin "appelle le marié" et lui dit" "tout homme sert d’abord le bon vin et, quand les gens sont ivres, le moins bon. Toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à présent". C’est le marié qui répond puisqu’il l’appelle ; or c’est Jésus qui répond.

Ne serait-ce pas en fait Jésus le marié ? Et qui est donc sa femme ?


JPEG - 39.4 ko

 Une marié

Deux femmes figurent dans évangiles :

  • 1. Marie migdal ou Magdala, c’est semble t il une prostitué selon la tradition or pas dans les évangiles. Chez Luc on apprend qu’elle est l’ami de l’épouse de l’intendant d’Hérode et toutes deux assistaient de leurs biens avec d’autres Jésus et ses disciples. Donc elle est fortunée, en plus toujours chez Luc, il évoque le passage de la femme qui "oignait de parfum" les pieds de Jésus. Marc de son coté cite la même anecdote en parlant d’une pécheresse. Il est vrai il ne cite pas de nom, mais il faut savoir que marie magdaléenne est décrite chez Luc comme une femme dont "etaient sortis 7 démons". Peut être allusion au culte d’Ishtar ou astarté "reine du ciel" impliquait une initiation de 7 degrés. Revenons donc, Marie est selon Luc une pécheresse. Ce qui fait de la femme qui oignait de parfum, la fameuse Marie. D’autant plus que Marc insiste sur le prix élevé du parfum de nard. Sachant qu’elle est fortunée, ca coïncide. Dans la suite des évangiles synoptiques, la magdaléenne viendra en tête des femmes cheminant au coté du christ. C’est elle qui trouvera le tombeau vide.
  • 2. Marie de Béthanie sœur de Marthe et de Lazare, intimes de Jésus. Lazare est celui qui tombe malade, et en meurt. Dans le 4e évangile, le christ apprend la nouvelle mais reste sans émotion, il reste même 2 jours près du fleuve pour retrouver son ami. A son arrivée Marthe l’accueille "seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort". Il faut savoir que sa sœur Marie reste à l’intérieur d’ou elle ne sortira qu’à la demande du maître. Une coutume juive du nom de "Shiva" énonce qu’il faut respecter les 7 jours de deuil et les femmes etaient autorisées à sortir de chez elle que sur l’ordre formel du mari. Marie de Béthanie respecte le Shiva si Jésus est son mari. Dans le 4e évangile, 11, 1-2 "il y avait un malade, Lazare, de Béthanie, le village de Marie et de sa sœur Marthe. Marie etait celle qui oignit le seigneur de parfum et lui essuya les pieds avec ses cheveux", au chapitre suivant "…. 6 jours avant la paque, Jésus vint à Béthanie, ou etait Lazare, que Jésus avait ressuscité d’entre les morts. On lui fit un repas. Marthe servait. Lazare etait l’un des convives. Alors Marie, prenant une livre de nard pur, de grand prix, oignit les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux…"La marie de Béthanie ne sera présente à la crucifixion.

On sait que la magdaléenne etait riche, pécheresse et oignit le christ, marie de Béthanie sœur de Lazare respecte la tradition du "Shiva" et oigne de parfum de grand prix le christ. Il est facile de faire de Marie Magdala, Marie de Béthanie, une seule personne. La femme de Jésus est donc marie Béthanie ou magdaléenne.

Dans les manuscrits de la collection de Nag Hammadi découvert en Egypte en 1945 en haute Egypte, dans l’évangile de Philippe "la compagne du sauveur etait marie de Magdala. Le christ l’aimait plus que tout les disciples et souvent l’embrassaient sur la bouche. Les autres disciples précise t il s’en offensait sans chercher à dissimuler leur désapprobation, et demandait à Jésus "pourquoi l’aimes tu davantage que chacun d’entre nous ? Et le sauveur de répondre à son tour "pourquoi ne l’aimerais je pas plus que vous"

Marie sa femme, ainsi Lazare est son beau-frère.

 Lazare

Ce lui ci est mort et ressusciter or Jésus chez jean 11,4 "cette maladie ne mène pas à la mort dit il seulement, elle est pour la gloire de dieu" lorsqu’un messager le prévient de la maladie de Lazare. Avant de partit pour Béthanie "notre ami Lazare repose, mais je vais aller le réveiller".

Or dans les mystères initiatiques, il y a ce qu’on appelle la mise au tombeau prélude à une seconde naissance à l’instar du baptême.

Lazare serait le fameux disciple bien aimé, en effet dans jean 19, 26-27 lors de la crucifixion "Jésus, voyant donc sa mère et, se tenant près d’elle, le disciple qu’il aimait, dit à sa mère "femme, voici ton fils" puis il dit au disciple "voici ta mère, dès cette heure, le disciple l’accueillit chez lui". Or le seul à posséder encore une maison est Lazare puisque les autres ont abandonné leur foyer en Galilée.

Selon la tradition la mère de Jésus meurt à Éphèse ou le 4e évangile aurait été composé, et donc que devient le disciple bien aimé. Or il semblerait suivant encore la tradition que Lazare, marie de Magdala, Marthe, joseph d’Arimathie et quelques autres gagnèrent en bateau Marseille. De la Joseph serait partit pour l’Angleterre fondant l’église de Glastonbury.

 Résumons

Jésus selon les dires de Matthieu avait donc des droits légitimes sur le trône de Palestine, d’ou son nom de messie, christ. Comme tout bon juif il etait donc marié. Son mariage se passa à cana et épousa une certaine Marie sœur de Lazare assez fortuné. De quelle origine est elle. La tradition nous enseigne qu’elle est de la tribu de benjamin. Comme il prétendait au trône il utilisa la tradition que le messie rentrerait sur un âne dans Jérusalem. Donc il représentait une menace pour Hérode.

Il faisait partie des nazoréens, voire des Génésareth. Il avait de très nombreux amis notamment Lazare mais aussi joseph d’Arimathie ou Nicodème

Comme toute menace, il devenait l’ennemi des romains qui d’ailleurs connaissait son statut. Pilate demande aux grands prêtres (Marc,15,12) "que ferais je donc de celui que vous appelez le roi des juifs". Il n’y a pas de mépris, juste une crainte de se roi perdu. Selon les synoptiques, Jésus est arrêté et condamné par le sanhédrin la nuit de la paque. Or dans la loi juive il etait formellement interdit au conseil de se réunir pendant la paque. Le procès se déroule la nuit devant le sanhédrin, suivant la même loi elle interdisait au sanhédrin de se réunir après la tombée du jour. Les Evangiles laissent dire que le conseil n’est pas autorisé à prononcer des sentences, ce qui est complètement faux. Si le conseil avait eu envie de tuer le Christ il l’aurait lapidé sans avoir l’autorisation de Pilate. En fait il faut savoir que les évangiles ont été rédigé pour les romains à une époque de trouble et donc il fallait minimiser leur responsabilité. Ce qui explique les incohérences.

Jésus en tant que menace de l’empire romain fut condamné par lui à la crucifixion. Le plus étrange encore est que les principaux ennemi du christ etait des personnage influents de Jérusalem, il aurait été plus simple pour eux d’engager un tueur pour l’éliminer et non passer par Hérode.

Sa mort sur la croix baigne d’incompatibilité. la crucifixion etait une pratique courante contre les ennemis de l’empire. elle se déroulait en plusieurs étape, la victime etait flagellée donc dans un état de grande souffrance. Puis mis sur une croix, bras étendu et fixé sur une poutre soit par des cordes ou des clous. Chargé de sa fardeau le supplicié se rendait dans le lieu de son exécution. La poutre etait hissée sur un poteau ou à un pieu vertical. Le crucifié ne pouvait plus respiré sauf si ses pieds etaient fixés au bois, lui permettant de dégager ses poumons. Certains résistaient afin d’accélérer la mort on brisait parfois les genoux non pas par sadisme, ce qui entraînait l’étouffement.

Or selon le 4e Evangile, les pieds de Jésus etait fixé à la croix lui permettant de respirer et donc il aurait pu résister. Or il meurt rapidement d’ailleurs Pilate s’en étonne (Marc 15,44) d’une telle rapidité. D’autant plus qu’il se plaint d’avoir soif, on lui tend une éponge imbibée de vinaigre. Ce geste est utilisé par les soldats ou esclaves de galères pour résister à l’épuisement puisque le vinaigre ou vin aigre est une boisson acidulée réputée stimulante.

Or le vinaigre chez le christ produit l’effet inverse car "il rend l’esprit".

Il est crucifié dans un lieu nommé Golgotha soit le crane, c’est une colline abandonnée au nord ouest de Jérusalem. Toujours dans le même évangile, "or il y avait un jardin au lieu ou il avait été crucifié et, dans ce jardin un tombeau neuf,…" (jean 19,41). Selon Matthieu le jardin appartenait à joseph d’Arimathie homme riche et disciple secret du christ.

En fait, il est facile de penser vu les contradictions, qu’il fut crucifié dans le jardin appartenant à joseph et qu’il pu y avoir une mise en scène et que le vinaigre fut remplacé par un produit somnolent et endormant.

Joseph d’Arimathie etait membre du sanhédrin et avait donc une influence sur Pilate.

La tradition médiévale attribue à joseph d’Arimathie la garde du saint Graal, ou sang royal.

___

Мир странно, вы не думаете ?


9 votes

Commentaires

vendredi 21 septembre 2012 à 14h31

A pros des noces de cana :

Le texte grec ne dit pas que Marie est invitée.

Et nous pouvons même imaginer que d’inviter une femme chez les hommes est anachronique. si elle était invitée alors elle serait séparée des convives masculins car une femme ne se montre pas en public.

En revanche, le texte grec institue un parallélisme étroit entre Jésus et ses disciples, tout porte à croire que Jésus et ses disciples ont le même motif d’être présents.

mais il faut que se soit Marie qui ordonne à son fils de remplir les jarres. En tant qu’invité ce n’est pas leur rôle, en plus les ser­vi­teurs obéissent sans hési­tation.

Je serais surprise qu’une femme fasse partie des convives, elle fait partie des femmes qui aident au service comme toutes les amies de la famille le font.

« Après le miracle, le maître du repas, une espèce de majordome ou maître de céré­monie ayant goûté le nouveau vin "appelle le marié" et lui dit" "tout homme sert d’abord le bon vin et, quand les gens sont ivres, le moins bon. Toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à présent". C’est le marié qui répond puisqu’il l’appelle ; or c’est Jésus qui répond. _ »

9 Quand l’ordonnateur du repas eut goûté l’eau changée en vin,-ne sachant d’où venait ce vin, tandis que les serviteurs, qui avaient puisé l’eau, le savaient bien, — il appela l’époux,
10 et lui dit : Tout homme sert d’abord le bon vin, puis le moins bon après qu’on s’est enivré ; toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à présent.

Vous prétendez que, dans "il appela l’époux, et lui dit", le sujet de "dit" serait l’époux, mais l’ordre des mots et la construction rend périlleuse votre lecture

φωνει (imperfectif présent) τον νυμφιον (complément d’objet direct) ο αρχιτρικλινος (sujet) και λεγει (imperfectif présent) αυτω
appelle (imperfectif présent) l’époux (complément d’objet direct) le maître de cérémonie (sujet) et dit (imperfectif présent) à lui.

Ma lecture naïve me suggère que c’est l’ordonnateur qui parle.

Logo de Neimad
jeudi 13 septembre 2012 à 00h26 - par  Neimad

Merci pour votre commentaire. Une relecture sera effectuée les prochains jours…

Logo de Michel R
mercredi 12 septembre 2012 à 09h54 - par  Michel R

Votre site, que je découvre avec grand intérêt me paraît fort bien documenté ; Par contre, les très nombreuses fautes d’orthographe et parfois même de syntaxe (en ce compris la ponctuation et l’emploi aléatoire des majuscules) qui parsèment les textes nuisent réellement à la clarté et tendent finalement à décrédibiliser le propos, ce qui est bien dommage…

Logo de syagrius
lundi 13 décembre 2010 à 15h40 - par  syagrius

Effectivement, l’argument de dire que Jesus n’a pas existé soulève le fait que tout cela n’a pas d’intérêt.

Hors le personnage qu’il est existé ou pas donne à réflexion et mérite donc qu’on l’étudie.

Le livre Michael Baigent Richard Leigh et Henry Lincoln fait partie de ses livres intéressant même si parfois ils vont un peu loin MAIS au final rendent au personnage une dimension historique et amènent à se poser encore plus de question.
Le but n’est pas de dénigrer la foi catholique, cela n’est pas le sujet mais est de mieux connaitre et comprendre une époque, un homme qui malgré tout à changer la face du monde.

D’ailleurs je citerai aussi le livre de Jacques Duquesne "Jesus" chez Flammarion :
ISBN : 2-220-03540-9
ISBN : 2-08-067083-2

Logo de ubick
samedi 4 décembre 2010 à 03h22 - par  ubick

Tout ceci ’et même plus) est présent dans un ouvrage de Michael Baigent Richard Leigh et Henry Lincoln : " l’énigme sacrée", qui fut plagié pour donner le très mauvais Da VInci Code. Ccelà part d l’histoire de l’abbé Saunières, qui aurait découvert la preuve de l’existence d’une descendance de Jésus.
Mais surtout, il y a deux postulats contradictoires au départ de ces histoires :
1:Jésus à existé en tant que personnage historique (pas de preuves…)
2 : Il n’est pas mort sur la croix et donc pas ressucité, et donc son caractère divin est directement remis en cause. Dans ce cas, qu’est ce que ça peut bien faire qu’il ait été marié ou non, et quel légitimité aurait son éventuelle descendance ? A part dénigrer la foi catholique…
Voilà peut-être des questions préalables à se poser.

Publications

Brèves

2 septembre 2016 - Marie ou Mere

Marie s’ecrie en arabe et hébreu Meryem Il faut savoir que : "Mer" en français se dit "yem", en (...)

11 février 2013 - Démission surprise de Benoit XVI

Benoit XVI a annoncé sa démission le lundi 11 février 2013 alors que personne ne s’y attendait. (...)

15 septembre 2012 - Correspondance entre l’alphabet latin et l’alphabet hébraïque

A = 1 B = 2 G (G dur) = 3 D = 4 E = 5 V (O, U, W) = 6 Z (X doux, S doux français, S (...)