Effectivement, des correspondances aléatoires permettraient assez rapidement de se rendre compte de l’intérêt d’utiliser des correspondances non aléatoires (à mon sens).
Prenons le groupe "88". Nous avons à la suite : abat-jour, banquise, brillant, brûlant, cigarette.
Le groupe "94" = bruyère, cartouche, chargement, chasseur.
Le groupe "59" = accident, auberge, bougie, brume, château, dragon. Etc.
Je pense que (à priori) de telles suites d’analogies sont improbables avec l’aléatoire. Comme je l’ai dit, nous devons partir de l’hypothèse que tous les mots d’une même famille sont "reliés", même si ces liens court-circuitent la linéarité. De là l’intérêt à piéger le champ lexical en creusant l’arborescence.
Et si les résultats sont encore mitigés, il faudra en accuser la langue, et non la guématrie.
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