Le mystère des Dogons

mercredi 16 février 2011
par  syagrius
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 Bref historique

L’histoire des migrations et des installations des Dogon (une dizaine de groupes principaux, une quinzaine de langues différentes), porte sur plusieurs hypothèses.

Pour certains historiens, les Dogons auraient fui d’une zone située à l’ouest de leur emplacement actuel, suite à une agression ; la zone serait le Mandé ; ils se seraient dirigés vers l’est en traversant le fleuve Niger. JPEG - 15.1 ko

Ainsi ils se sont réfugiés dans les falaises de Bandiagara pour échapper aux rezzous des Peuls. La disposition très serrée des villages dogons correspond ainsi à un but défensif, mais elle exprime surtout une vision du monde extrêmement élaborée.

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Dans les légendes Dogons, revient toujours le thème de fuite devant un ennemi à cheval et en grand nombre.

Vers le XIè ou le XIIè siècle, cette thèse semble rejoindre celle des Mossé, voisins du sud actuel des Dogon ; l’ancêtre des Mossé est " OUEDRAOGO " ou " Cheval mâle " ou " Etalon " (voir l’ouvrage " Ainsi on a assassiné tous les Mossé ") ; son armée était composée en grande partie de cavalerie.

Selon leur version, le plateau central de l’actuel Burkina Faso était occupé par les Younyonsé, les Samo, les Gourounsi, les Ninissi, les Dogon, les Kibissi ; la chevauchée des " Ouédraogo " poussa vers le nord jusqu’à la falaise de l’actuel Bandiagara, les Dogons et les Kibissi qui ne contitueraient qu’un seul peuple.

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De même les Kurumba de la région du Yatenga constitueraient une branche mère des Dogons.

Les Dogons sont ainsi repartis entre le Mali et le Burkina Faso, avec une très grande partie au Mali

 Découvertes

Ce sont deux ethnologues français , Marcel GRIAULE et Germaine DIETERLEN qui après avoir été initiés par un prêtre Dogon en 1946, publieront après 4 ans d’enquêtes en 1951 une étude dans le journal de la " Société des Africanistes" sous le titre : " Un système soudanais de Sirius", suivi d’un ouvrage intitulé "Le renard pâle" sous-titré " le mythe cosmologique , travaux et mémoire de l’Institut d’Ethnologie à Paris" où ils ont fait le récit de ce que leur a dévoilé

Ce prêtre sur la vision des Dogons de l’Univers et ce qu’ils ont raconté alors, était tellement extraordinaire, que personne ne voulut les croire.

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 L’art

Le serpent est au centre de la mythologie Dogon[dont on comprendra plus loin le pourquoi] qui les précède ou les guide dans leurs conquêtes ou qui rappelle l’empire du Ghana à l’ancêtre des Cissé de cette région ancienne de l’Afrique profonde de l’époque.

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Après la traversée du fleuve, ils durent affronter une zone de sécheresse et de pénurie d’eau ; c’est un chien qui leur fit découvrir la source d’eau du Kani Bonzou.

Un dignitaire Ambaroubou partit à la chasse, suivit un phacochère qui le conduisit à une mare cachée sous les branchages.

Un autre, Nangabourou qui avait soif suivit un crocodile et découvrit une rivière ; il fonda en cet endroit Bandiagara.

Les crocodiles sont sacrés en pays Dogonq et figurent sur leurs sculptures. L’art est illustré également par l’eau, les rivières, les chiens, les phacochères, les branchages et les feuilles.

 Mythologie

Le dieu suprême, Amma, est le créateur de la Terre, dont il fit son épouse. Elle lui donna d’abord un fils, Yurugu ou le Renard pâle, être unique donc imparfait, qui ne détient que la première parole, révélée aux devins : la langue secrète - sigiso - est celle des initiés.

La Terre donna ensuite à Amma un second enfant, Nommo, à la fois mâle et femelle, maître de la parole qu’il enseigna aux huit premiers ancêtres des hommes, nés d’un couple façonné dans l’argile par Amma.

À ces quatre paires de jumeaux correspond la hiérarchisation politique et religieuse de la société dogon en quatre tribus conduites par les hogons, chefs religieux et politiques - du moins jusqu’à la colonisation européenne du Mali.

Les quatre-vingts niches qui ornent les façades des maisons dogons, faites de pierres sèches ou de briques d’argile crue, renvoient également aux origines de l’humanité selon les Dogons : elles symbolisent les huit ancêtres premiers et leur nombreuse descendance.

 Le couple originel

Il s’agit de l’un des plus grands symbolismes de la civilisation Dogon. La sculpture représente des mariés. Généralement, l’homme est à gauche, il passe son bras droit derrière le cou de la femme et sa main repose sur le sein droit de celle-ci. Le couple est sculpté par des forgerons, remis ensuite au chef, lequel l’offre aux mariés à l’occasion de grande cérémonie.

La diffusion de la culture a souvent poussé la confection à des dimensions fort grandes. On peut déterminer le groupe social à partir de la nature des coiffures des personnages. L’homme porte au dos un arc et des flèches qui symbolisent sa bravoure. La coiffure de la femme est poussée au raffinement selon certaines régions. La femme porte au dos un enfant symbolisant la fécondité que le groupe social lui souhaite. Les seins sont souvent rebondis en signe d’éternelle jeunesse et beauté qu’on souhaite.

 L’arche de Nommo

Selon la légende, le premier ancêtre bénéficia des grâces et conseils de Dieu pour son voyage. Il construisit une arche ayant la forme d’un panier, et contenant tout ce qui est nécessaire à l’homme : un panier, des unités de mesures, des figures géométriques, des matériels de forge, des outils, des graines.

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L’arche descendit suspendue à un fil de cuivre ou de fer en un lieu qui serait le lac Debo.

Le sol était sec et le Nommo se transforma en cheval pour tirer l’arche jusqu’en un lieu que les premières pluies remplirent. Elle se mit ensuite à flotter comme une pirogue.

Cette représentation symbolique de l’arche se retrouve chez les Dogons : écuelle en forme parallélépipédique avec deux poignées figurant la tête et la queue du cheval.

La forme de la pirogue prêtée à l’arche semble être une influence des pirogues des Bozos considérés comme les premiers fils du Nommo.

L’arche du Nommo est souvent appelée le " Sudian " ou " abreuvoir ". Elle constitue pour certains historiens dans son principe, l’une des pièces d’origine de la culture Dogon. Selon certaines thèses, elle symbolise la traversée du fleuve parce que, ceux-ci seraient venus de la zone de Mandé au sud-ouest de leur implantation actuelle.

Les Dogons auraient été aidés dans leur déplacement sur tout le long du trajet et même au niveau du fleuve par des chevaux. A la fin de leur parcours ils confectionnèrent des objets d’art, rappelant le cheval, mais aussi la vie quotidienne de cet animal en signe de reconnaissance. Ils lui firent un abreuvoir comportant plusieurs signes dont celui central sera le cheval ou sa tête.

 Le mystère Dogons proprement dit

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Les Dogons prétendent, en premier lieu, connaître depuis longtemps deux étoiles compagnes de Sirius qui est l’étoile la plus brillante du ciel et que l’on peut voir, en début de Février presque au dessus de notre tête, en Guadeloupe vers 20 heures.

Or à l’œil nu, on ne peut apercevoir qu’une seule étoile et ce n’est qu’en 1862 que, l’astronome américain Alvan CLARKE découvrit, grâce à un télescope puissant, la deuxième étoile qui fut nommée alors : Sirius B .

Cependant les Dogons eux affirment qu’il existe une troisième étoile, que nous pourrions nommer Sirius C, et ils nous disent surtout que leurs ancêtres seraient justement venus, il y a des millénaires, d’une planète en orbite autour de cette troisième étoile que nous ne connaissons pas encore. Mais voyons plus en détail ce que nous disent à ce sujet les Dogons.

Ils affirment que Sirius possède d’abord un compagnon plus petit et surtout plus lourd qu’ils nomment PO Tolo ou Po-Digitaria du nom d’une graine de céréale, africaine très petite et très lourde qu’ils utilisent régulièrement.

Mais surtout les Dogons savent que Sirus B donc Po-tolo boucle son orbite elliptique autour de Sirius A en 50 ans et c’est pour cela que ces Dogons célèbrent tous les cinquante ans, la " fête de Sigui " dont les cérémonies visent à régénérer le Monde, d’où son importance, sans doute pour que les récoltes soient bonnes.

Or c’est d’abord l’allemand Bessel qui fut le premier, en 1844, à soupçonner l’existence de cette 2e étoile, pour expliquer les oscillations insolites du mouvement apparent de Sirius A, alors que l’orbite théorique de cette étoile Sirius B, on le sait, invisible à l’œil nu, fut calculé par Peter en 1851 et sa période de révolution fut précisé de 50,090 ans par Van Den Bas en 1960.

Or les Dogons le savaient déjà eux, et comment ont-ils su que la période de révolution était justement de 50 ans. Cette étoile Sirius B est ce que l’on appelle une "naine blanche". Elle est plus vieille que Sirius A, mais ne mesure que 30 000 Km environ de diamètre, donc 2 fois et demi celui de la Terre et sa densité est de 50 000 alors que sa masse atteint 90% de celle de notre Soleil.

Mais que dire de cette troisième étoile Sirus C que les Dogons affirment connaître ?

Ils la nomme " Emma Ya " ou "Sorgo" ou encore "L’étoile des femmes" et ils disent que cette étoile a une période de révolution de 32 ans autour de Sinus A, sur une orbite elliptique très excentrique et qui est, (et cela est plutôt remarquable comme prècision), perpendiculaire à celle de Sirus B.

Les Dogons, qui ont dessinés ces orbites sur leur objets précieux sans doute pour mieux les visualiser, affirment surtout que Emma ya, possède plusieurs planètes en orbite autour d’elle et que c’est de l’une de ces planètes, que seraient venus leurs ancêtres, il y a très longtemps à bord du NOMO vaisseau inter-stellaire dont la forme et le comportement ressemble beaucoup à ceux de la fusée lunaire Apollo.

En ce qui concerne les recherches des astrophysiciens sur cette étoile Sirius C, en 1991 dans la revue "Astronomy & Astrophisics", les astronomes, Jean Marc Bonnet-Bidaud et Cécile Gry nous disent qu’ils en soupçonnent l’existence par suite de la constatation d’un changement de couleur du système, à travers les ages, et pensent que cet hypothétique troisième compagnon de Sirius pourrait bien avoir une orbite très aplatie comme une comète et après analyse grâce à un coronographe occultant la lumière aveuglante de Sirius A Ils ont sélectionné deux d’entre ces corps voyageurs sans arriver encore à déterminer lequel de ces astres montre le même mouvement propre que Sirius.

Dès les années 1920 une demi-douzaine d’astronomes rapportèrent l’observation d’une 3e étoile très faible susceptible d’appartenir au système , mais aucune confirmation n’a pu émerger jusqu’alors. Les derniers travaux menés par les astronomes jean-Louis Duvent et Daniel Benest de l’observatoire de Nice qui utilisèrent des simulations numériques d’ordinateurs, semblent renforcer l’hypothèse de l’existence du 3e corps d’une masse très faible, de 0,5 fois au plus la masse solaire et de magnitude apparente de 5 à 10 fois plus faible que Sirius A. Voir la Revue CIEL ET ESPACE d’Août 1995, Article d’Olivier FEVRE "L’énigme de Sirius" et voir aussi l’article " Les étoiles du sacrifice" de Serge Jodra" dans le n° 331 de la même revue de Mai 1996 .

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D’ailleurs les Dogons ont également d’autres connaissances astronomiques toutes aussi étonnantes de la part d’une tribu reculé qui vit au centre d’Afrique et pratiquement sans contact extérieur. Ils connaissent les différentes phases de Vénus, qui sont à peu près analogues à celles de la Lune et ils ont donné 6 noms différents aux divers aspects que présente, d’après eux, cette planète comme s’ils avaient su comment faire pour l’observer de l’extérieur.

D’autre part, ils divisent le Ciel en 22 parties égales et en 266 constellations et ils disent aussi que Venus possède un compagnon, qui pourrait être sans doute l’astéroïde Toro, récemment découvert entre la Terre et Vénus.

Ils connaissent aussi les 4 plus gros satellites de Saturne pourtant invisibles à l’œil nu, mais ils ignorent cependant les planètes au delà de Saturne donc Uranus, Neptune et Pluton alors qu’ils connaissent les compagnons stellaires de Sirius.

Les Dogons prétendent aussi que tout l’Univers tourne en spirale conique et qu’il a été créé à partir d’un noyau central par la voix d’AMMA leur dieu suprême : comme chez les hébreux avec YHVH.

Pour eux l’ Univers est infini, mais cependant mesurable, ce qui rejoint les théories d’Einstein et de plus, ils croient que les mondes infinis s’éloignent de nous à des vitesses très grandes dans un mouvement spiralé donc par une combinaison de translations et de rotations, combinaison qui se retrouve aussi bien disent-ils dans les structures élémentaires infiniment petites que dans celles infiniment grandes et nous voyons là qu’ils anticipent ainsi sur les conclusions les plus modernes concernant l’expansion et la structure de notre Univers.

La tradition des Dogons, que nous raconte le prêtre OGOTEMMELI , dit aussi que leurs ancêtres étaient des amphibiens et c’est pour cela qu’ ils célèbrent l’anniversaire de leur arrivée sur Terre sous le nom de "jour du Poisson" et cela fait encore penser à la tradition Sumérienne qui nous parle d’OANNES l’homme poisson qui apparut à plusieurs reprises sur les plages du Golfe Persique pour civiliser et éduquer les hommes.

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Le NOMO était rouge comme le feu quand il atterri au Nord-est du pays, dans un tourbillon de poussière, puis il fut traîné dans une dépression remplie d’eau et il put ainsi flotter. Puis les astronautes amphibiens sortirent de la capsule. D’ailleurs l’eau joue un grand rôle chez les Dogons qui considèrent que l’eau douce est de nature masculine et l’eau de mer de nature féminine que cette eau est la force vitale de la terre, force qui se trouve même à l’intérieur de la pierre car l’ humidité est partout.

NOMO, qui désigne aussi le Commandant du vaisseau, est descendu sur la terre, porteur de fibres végétales tirées des plantes qui poussaient déjà dans les "champs du Ciel" et après avoir créé la Terre, les plantes et les animaux, il créa le premier couple humain, qui engendra par la suite, les huit grands ancêtres de l’Humanité. Sa tâche terminée, Nomo regagna le Ciel.

Leurs révélations sur l’eau, que nous raconte ce prêtre dogon, qui sont encore plus surprenantes, quand on sait que la science actuelle n’a que récemment découvert la possibilité d’obtenir de l’eau à partir de la roche du sol, en voulant optimiser les possibilités de survie des hommes qui pourraient séjourner sur la Lune pour de longues périodes et cela extrayant de ces pierres lunaires, à l’aide de procédés très pointus et onéreux, l’ hydrogène et l’ oxygène à l’origine de la molécule d’eau.

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 Résumé

Ce que le prêtre Ogotemmeli a divulgué a Griaule en 1947

1. 14 systèmes solaires aux planètes plates et circulaires, l’ensemble a été crée par le dieu Amma.

2. Ainsi le dieu lanca "des boulettes de terre" pour en former les étoiles.

3. La terre fut crée en dernier afin de pouvoir s’accoupler avec elle et ainsi un élément unique fut engendré : le chacal. Par la suite il engendra des jumeaux dont l’apparence était celle de l’Homme et du serpent dont l’eau jouait un élément essentiel. de couleur verte, le corps lisse et couvert de poils de même couleur : leurs yeux avaient la forme des yeux humains mais étaient de couleur rouge, leur langue était fourchue, le torse identique au rose humain, le bas du corps adoptait la forme du serpent : les bras étaient souples, sans articulation et terminé s par des mains palmées. Tous deux s’appellent Nommo : chacun est à la fois masculins et féminins et leur essence divine leur fit rejoindre leur père au ciel. Où celui-ci leur transmit son savoir.

4. Ainsi les nommo sont fils du ciel et de la terre et commencèrent par vêtir la terre : Ils apportèrent du ciel des fibres qui n’existaient qu’au pays d’Amma et, avec leurs doigts, en torsadèrent dix poignées pour qu’elles forment des sortes d’hélices symbolisant l’eau, le serpent et les spirales du soleil et de la lune. Ils en placèrent cinq devant la Terre et cinq derrière. Il est à noter que cette jupe de fibres ondulantes fait actuellement partie du costume des danseurs des masques

5. Dieu modela une matrice en glaise humide et la posa sur la Terre : puis du ciel, il lança sur la matrice une boulette de terre. II modela ensuite un sexe masculin et agit de même. De la fusion de ces deux sexes naquirent un homme et une femme. Comme ils ne voulaient pas que la règle des naissances doubles disparaisse, l’expérience du chacal unique étant regrettable, les Nommo dessinèrent sur le sol deux silhouettes représentant une âme femelle et une âme mâle. L’homme créé par Dieu se coucha sur les deux âmes et les absorba. La femme fit de même. Ainsi. chaque individu fut doté d’une double appartenance. Chez l’homme, la féminité se situe dans le prépuce et chez la femme, la masculinité siège dans le clitoris.

6. Les Nommo décidèrent la circoncision de l’homme. Au moment de l’opération. le prépuce se transforma en un animal bizarre, ni serpent, ni insecte, mais " dans la chasse des serpents ", et appelé nay : il ressemble à un lézard noir et blanc appelé plus tard lézard-soleil. En Dogon, nay veut également dire " quatre ", qui est le symbole de la féminité.

7. Attiré par une prémonition, l’aîné des huit ancêtres, s’enfonça dans la fourmilière, les pieds devant, en laissant au bord du trou la calebasse qu’il portait sur sa tê te. Aujourd’hui encore. la calebasse est, pour les Dogon, la dernière trace charnelle du mort et elle fait partie des objets funéraires. L’aîné des ancêtres devint pur esprit dans l’eau de la matrice : il reçut la parole et monta au ciel. Les sept autres le suivirent dans l’ordre de leur naissance. Tous reçurent le même enseignement, sauf le septième, le chiffre sept é tant le chiffre de la perfection, car il est l’addition de trois. Chiffre masculin. et quatre. chiffre féminin.

8. Jupiter et de son halo.

9. Saturne et de ses satellites de Vénus.

10. Sirius et de ses satellites.

Ainsi, nous voila en présence d’une tribu du Mali à la tradition orale bien bien curieuse et surtout dont les propos sont vérifiés par les découvertes scientifiques. Faut il penser que les Nommos ont bien été des êtres réels, dans tous les cas le mystères restent ouverts…Que la recherche continue..

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Le monde est étrange, vous ne trouvez pas ?


11 votes

Commentaires

Logo de Béatrice BAKARI/ FARRE/MOKHTASSIR
lundi 1er août 2011 à 15h17 - par  Béatrice BAKARI/ FARRE/MOKHTASSIR

C’est FABULEUX ! Je suis par naissance originaire d’un Homme Dogon ( de Ségou) que je n’ai vu en photo qu’il y a 3 ans lors de mes 5Oans car il a "abandonné" ma mère blanche après une aventure amoureuse de 6mois à Paris lors de ses études en 1958 et je suis le "fruit" de ce "divin mélange".
Votre article m’a donc portée aux Anges car je ne cesse de réclamer à mon père du Mali mon histoire et il me la refuse sous prétexte qu’il est "haut placé dans le gouvernement" et qu’il ne veut pas se compromettre.
Je remercie donc chaleureusement la personne qui a écrit cet article et qui m’a permis de me mettre en contact symbolique avec l’âme du peuple de la moitiée de mes origines.
Je "ressens" au plus profond de mon être TOUT ce qui a été écrit.
Je suis d’ailleurs devenue une "Femme-Médecine" et j’ai donc hérité des "dons" de mes ancêtres Dogon.
MERCI encore

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mardi 22 mars 2011 à 10h55 - par  lucas

C’est magnifique et les mots me manquent pour exprimer mon enthousiasme.
merci beaucoup de nous donner accès à ceci.
un article qui rehabilite aussi les affricains ,et qui nous donne un aperçu de leurs cultures tout aussi riches de savoir que les nôtres.des fois que certains penseraient le contraire !
une histoire qui nous amène vers l’inconnue et qui nous rapelle que la quête humaine n’est qu’à son début,Qui laisse aussi notre imaginaire s’ouvrir sur l’espoir..

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