En réponse à :
7 août 2012 11:19, par ianop
Effectivement, des correspondances aléatoires permettraient assez rapidement de se rendre compte de l’intérêt d’utiliser des correspondances non aléatoires (à mon sens). Prenons le groupe "88". Nous avons à la suite : abat-jour, banquise, brillant, brûlant, cigarette. Le groupe "94" = bruyère, cartouche, chargement, chasseur. Le groupe "59" = accident, auberge, bougie, brume, château, dragon. Etc. Je pense que (à priori) de telles suites d’analogies sont improbables avec l’aléatoire. Comme je l’ai dit, nous devons partir de l’hypothèse que tous les mots d’une même famille sont "reliés", même si ces (...)