Tout cela fait la trame du best-seller de Dan Brown, le "Da Vinci code". Cela mérite à mon sens d’être signalé.
Il n’existe pas aujourd’hui de document officiel attestant l’existence de la descendance de Marie-Madeleine et de Jésus. On ne peut faire que des hypothèses.
Par ailleurs, si cette descendance existe, cela signifie ou tend à signifier que le Christ n’est pas le fils de Dieu, donc qu’il n’est pas ressuscité (c’est un simple prophète). Or, le propre de la Déesse-Mère (Isis) est sa capacité à faire renaître les êtres par magie. Donc, nier la magie (les pouvoirs de l’esprit) revient à nier la Déesse. Il y a une contradiction énorme, car la Déesse (Marie, Isis, Inana, comme on voudra) ne peut en aucun cas être assimilée à la femme, étant avant tout pure énergie.
En admettant que le personnage efféminé de la Cène de Léonard soit bien Marie-Madeleine, où se trouve alors l’apôtre Jean dans le tableau ? Autre contradiction.
Si le Graal s’expliquait seulement par un arbre généalogique, le personnage de Galaad n’aurait aucune raison d’être.
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