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lundi 3 décembre 2012
par  ianop

Tables guématriques

Définition d’une table guématrique. L’alphabet latin. Implications. Différentes tables guématriques

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vendredi 7 décembre 2012 à 17h38 - par  aeram

"Le pro­blème est que l’on est confronté à de trop grands nombres, sans compter que l’on déroge à la règle de réduction d’un nombre quel­conque à un nombre compris entre 0 et 10."

Or, vous n’expliquez pas les tenants et aboutissants de cette règle. Et, en la plaquant sur des équivalences numérales, constituant un terme en langue française, alors que ces équivalences ne sont faites pour cela, vous vous engagez vers un cryptage sans raison d’être.

En reprenant votre terme : GUEMATRIE

ou, suivant l’usage en vigueur depuis le second siècle approximativement (lire ou relire : Histoire et art de l’écriture. C/O. Laffont)

G=3, E=5,M= 40, A=1, T=9, R= 200, I= 10, E= toujours 5.
3+5+40+1+200+10+5. La sonne est réductible.Dans quel but ?

Pour situer le nombre final entre deux états d’une chose quelque : l’un étant ce qui est potentiel en elle (la puissance par ex.) et l’ autre son état réel, palpable.

De là : 1 : ce qui est potentiel, 9 : la chose.


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