Dernier ajout : 3 décembre 2012.
La guematrie que nous utilisons est un simple jeu avec les mots et les chiffres qui n’a d’autre prétention de montrer la proximité des mots et des nombres dans notre langue, de la manière la plus simple et la plus directe possible (A=1 ; B=2 ; C=3 ; D=4 ; etc.). Nous avons appelé cette guematrie simplifiée la guématrie de base 1 (A=1) ou la gematrie des lettres-chiffres.
Elle diffère de la guematrie traditionnelle de la kabbale en plusieurs points :
elle s’applique à notre langue
les nombres donnés aux chiffres ne sont pas des valeurs arbitraires mais indiquent simplement leur place dans l’alphabet
elle n’exclut aucune lettre (la kabbale juive s’appuie sur l’hébreu, qui ne comprend que des consonnes, ce qui facilite déjà les jeux de mots)
elle cherche les plus égalités les plus courtes et les plus simples (pas de phrases entières et pas de permutation de lettres)
elle n’a pas pour but de découvrir un sens caché derrière les paroles de la Bible
La guematrie de base 1 diffère également de la numérologie, car elle n’attribue pas de sens aux nombres. Les nombres ne sont que des outils pour découvrir des égalités entre des mots qui appartiennent au même champ lexical.
Nous ne sommes encore qu’au début de ce travail qui semble prometteur, à notre propre étonnement. Il reste encore à effectuer des calculs similaires dans les autres langues ou avec les noms de ville, les marques, les noms des personnages célèbres, les titres de romans...
Ce travail complète nos études sur les coïncidences dans l’histoire, les pyramides d’Egypte, le Coran et les travaux de d’Arcy Thomson.
Contenu de la rubrique :
Guematrie : principe de base
Guematrie : les égalités de premier niveau
Guematrie : les égalités de second niveau
Guematrie : les inégalités à 1 près
Gematrie : les nombres inversés
Guematrie : les jeux de mots
Gematrie : les égalités dites de nombre